END-Plus : former les experts du contrôle non destructif

Lauréat du programme France 2030, le projet END-Plus (Examens Non Destructifs – Plus) répond aux besoins croissants de compétences sur les métiers du Contrôle Non Destructif dans la filière nucléaire.

Un secteur sous tension, des besoins massifs

D’ici 2033, la filière nucléaire française devra recruter plusieurs milliers de ces spécialistes, selon les projections du dispositif MATCH qui garantissent la sûreté des installations, de la prolongation de la durée de vie des réacteurs en exploitation à la construction des nouveaux EPR2.

L’UMN, catalyseur de la montée en compétences

Aux côtés de Le Mans Université, chef de file du programme, l’Université des Métiers du Nucléaire (UMN) joue un rôle essentiel dans END-Plus pour une réponse coordonnée aux besoins de la filière.
Le projet ambitionne de former plus de 6 500 apprenants en cinq ans, dont 3 000 professionnels en formation continue, et de sensibiliser 88 000 jeunes dès le collège pour les intéresser à ce métier et élargir le vivier.

Innover pour former plus et mieux

Soutenu à hauteur de 5,5 M€ par l’État, END-Plus mise sur l’innovation pédagogique et sur la formation des formateurs. Le projet associe un large consortium d’acteurs publics et privés : UMN, EDF, GIFEN, COFREND, SGS France Industrie, ainsi que plusieurs Campus des Métiers et des Qualifications et lycées professionnels.

Un projet au service de la souveraineté industrielle

En renforçant l’attractivité et la qualité des formations dans le contrôle non destructif, END-Plus contribue à sécuriser les compétences clés du nucléaire français. Pour l’UMN, c’est une nouvelle étape vers un objectif commun : préparer les talents qui feront le nucléaire de demain.